A la suite des déclarations du Pr. Fischer, Gabriel Attal explique sur le pass vaccinal : “J’ai toujours dit que nous le lèverons dès qu’il y aura une normalisation à l’hôpital. (…) Dans les projections que nous faisons, il y a des raisons d’espérer qu’à cet horizon de temps (fin mars-début avril, ndlr) nous soyons en mesure de lever ces ultimes mesures”, déclare le porte-parole du gouvernement.
Il a ajouté ” «La baisse franche, nous y sommes», a-t-il dit à l’issue du Conseil des ministres, en allusion à la baisse des contaminations. «Il y a des raisons d’espérer qu’à cet horizon de temps la situation se sera suffisamment améliorée pour que nous soyons en mesure de lever ses ultimes mesures».
Il a ajouté ” «La baisse franche, nous y sommes», a-t-il dit à l’issue du Conseil des ministres, en allusion à la baisse des contaminations. «Il y a des raisons d’espérer qu’à cet horizon de temps la situation se sera suffisamment améliorée pour que nous soyons en mesure de lever ses ultimes mesures».
Dans sa présentation à la Commission des affaires sociales, le professeur Fischer a insisté sur les effets du pass sanitaire en estimant que «13 % des Français se sont vaccinés grâce au pass sanitaire». Mais « il faut faire plus, encore, sur l’aller vers » les personnes non-vaccinées a-t-il insisté.
Jusqu’à quand maintenir le pass ? «Il faut que l’on soit dans un taux d’incidence réduit, au moins dix ou vingt fois moins qu’aujourd’hui (autour de 2 500)», a expliqué Alain Fischer à un sénateur. Il a ajouté la nécessité que « la surcharge hospitalière actuelle ait disparu, que les patients non-covid puissent être traités sans délai. Et que le taux de vaccination de rappels soit élevé»
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