Au revoir 2022, tous les habitants de la terre, les huit milliards de Terriens ont fêté le nouvel An et laisser derrière eux une année compliquée. En effet, l’année 2022 avait commencé avec une crise économique et la guerre en Ukraine et la pandémie qui a continué à perturber les vacances d’été 2022.

En Océanie, la fête avait commencé plus tôt, en Australie, Sydney a été l’une des premières grandes villes à sonner le passage en 2023, reprenant son titre de “capitale mondiale du Réveillon”.

Avec un plus d’un million de personnes qui ont assisté sur le port de Sydney au lancement de plus de 100.000 engins pyrotechniques.

En début d’après midi, des milliers de personnes occupaient les meilleurs emplacements pour assister au spectacle. “C’était une assez bonne année pour nous, se débarrasser de la COVID, c’est super”, a commenté David Hugh-Paterson, 52 ans, installé devant l’Opéra de Sydney.

“Si on parvient à rallier tout le monde à la fête et à aborder l’année qui vient avec un optimisme et une joie renouvelés, alors on aura réussi notre coup”, a dit l’organisateur du feu d’artifices, Fortunato Foti.

En fin d’année 2022, Deux rois sont partis, le jeudi 29 décembre celui du foot, le Brésilien Pelé (82 ans), et samedi 31 décembre l’ancien chef de l’Église catholique Benoît XVI (95 ans).

En 2022, le réchauffement climatique ne s’est pas calme et la croissance de la population mondiale non plus : le cap des huit milliards d’humains a été franchi en novembre 2022.

Cette année a vu la “Grande démission”, phénomène de départ de salariés de leur emploi après la pandémie, avec une gifle à la cérémonie des Oscars et la ruine de milliardaires, emportés par le crash des cryptomonnaies.

Le plus grave étant, le retour de la guerre en Europe avec le conflit russo-ukrainien.

Déjà, près de 7.000 civils ont été tués et 10.000 blessés, selon le bureau du Haut-Commissaire aux droits de l’homme des Nations unies.