Au moins cinq personnes ont été tuées mardi dans des attaques de terroristes palestiniens près de la métropole israélienne de Tel-Aviv, la troisième en une semaine en Israël, qui fait face à une vague de violence qui inquiète les autorités à l’approche de grands rassemblements en marge de la fête du Ramadan.
“Dans la rue HaShnaim, une personne a été retrouvée tuée dans une voiture et deux autres ont été tuées sur un trottoir voisin”, a rapporté le Jerusalem Post. Le journal a ajouté qu’une autre personne a été retrouvée morte sur la perpendiculaire de la rue Hertzl et que la cinquième victime avait été évacuée à l’hôpital Beilinson dans un état critique.
Des témoins ont rapporté qu’un terroriste circulait dans une voiture et ouvrait le feu sur les passants. La police israélienne a confirmé les attaques et a ensuite déclaré que le terroriste avait été abattu par la police qui patrouillait dans la zone. Elle n’a pas révélé son identité. Mais les médias locaux l’ont identifié comme étant Dia Hamarshah, un Palestinien de Yaabad, dans le nord de la Cisjordanie occupée, qui a passé quatre ans dans les prisons israéliennes.
À Yaabad, des témoins ont déclaré à l’AFP que des hommes distribuaient des bonbons dans la soirée en guise de “célébration” après les attaques. Le mouvement islamiste palestinien Hamas, qui dirige Gaza, a déclaré dans un communiqué que “cette opération est une réponse naturelle aux crimes de l’occupation contre les droits de notre peuple, notre terre et nos lieux saints”.
Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a annoncé mardi soir qu’il allait convoquer une réunion de hauts responsables de la sécurité pour examiner la situation.
Troisième attaque de ce type en une semaine dans le pays
Dimanche, à Hadera, dans le nord d’Israël, deux policiers israéliens ont été tués dans une fusillade revendiquée par l’organisation djihadiste État islamique (EI). L’un d’eux, âgé de 19 ans, était un franco-israélien. La police israélienne a identifié les terroristes abattus comme des agents arabes israéliens de l’EI.
Le 22 mars, dans la ville de Beersheva, dans le sud du pays, quatre civils israéliens – deux hommes et deux femmes – ont également été assassinés dans une attaque au couteau et à la voiture piégée par un terroriste inspiré par l’idéologie du groupe EI. L’assaillant était un enseignant condamné en 2016 à quatre ans de prison pour avoir projeté de se rendre en Syrie pour combattre au sein de l’EI et pour avoir prêché à ce sujet.
“Dans la rue HaShnaim, une personne a été retrouvée tuée dans une voiture et deux autres ont été tuées sur un trottoir voisin”, a rapporté le Jerusalem Post. Le journal a ajouté qu’une autre personne a été retrouvée morte sur la perpendiculaire de la rue Hertzl et que la cinquième victime avait été évacuée à l’hôpital Beilinson dans un état critique.
Des témoins ont rapporté qu’un terroriste circulait dans une voiture et ouvrait le feu sur les passants. La police israélienne a confirmé les attaques et a ensuite déclaré que le terroriste avait été abattu par la police qui patrouillait dans la zone. Elle n’a pas révélé son identité. Mais les médias locaux l’ont identifié comme étant Dia Hamarshah, un Palestinien de Yaabad, dans le nord de la Cisjordanie occupée, qui a passé quatre ans dans les prisons israéliennes.
À Yaabad, des témoins ont déclaré à l’AFP que des hommes distribuaient des bonbons dans la soirée en guise de “célébration” après les attaques. Le mouvement islamiste palestinien Hamas, qui dirige Gaza, a déclaré dans un communiqué que “cette opération est une réponse naturelle aux crimes de l’occupation contre les droits de notre peuple, notre terre et nos lieux saints”.
Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a annoncé mardi soir qu’il allait convoquer une réunion de hauts responsables de la sécurité pour examiner la situation.
Troisième attaque de ce type en une semaine dans le pays
Dimanche, à Hadera, dans le nord d’Israël, deux policiers israéliens ont été tués dans une fusillade revendiquée par l’organisation djihadiste État islamique (EI). L’un d’eux, âgé de 19 ans, était un franco-israélien. La police israélienne a identifié les terroristes abattus comme des agents arabes israéliens de l’EI.
Le 22 mars, dans la ville de Beersheva, dans le sud du pays, quatre civils israéliens – deux hommes et deux femmes – ont également été assassinés dans une attaque au couteau et à la voiture piégée par un terroriste inspiré par l’idéologie du groupe EI. L’assaillant était un enseignant condamné en 2016 à quatre ans de prison pour avoir projeté de se rendre en Syrie pour combattre au sein de l’EI et pour avoir prêché à ce sujet.
Comment interpréter ces attaques terroristes en Israël ?
La première étape de l’Iran est de déclencher une guerre interne en Israël où les Arabes israéliens se révolteraient contre leur propre pays, Israël, et rejoindraient l’idéologie du “Hamas” à Gaza.
La deuxième étape est que l’Iran, par le biais du Hamas et du Hezbollah, entraîne l’État d’Israël dans une guerre où Israël serait présenté comme l’agresseur et surtout mettrait Israël en position d’entrer à Gaza et au Liban pour “nettoyer les nids des terroristes islamiques” et Israël serait accusé d’agression.
La guerre russo-ukrainienne a donné des idées à l’Iran pour imaginer un scénario où Israël serait entraîné dans une guerre avec les Palestiniens et les Libanais et où le monde occidental serait obligé d’imposer des sanctions économiques à l’Etat d’Israël comme les sanctions contre la Russie et l’Iran.
La guerre en Ukraine a donné des idées à l’Iran au Moyen-Orient et à la Chine à Taïwan, l’année 2022 s’annonce compliquée.
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