Quelle réussite pour Julia Bijaoui qui est devenue entrepreneure. C’est l’histoire d’un succès à la française. Au départ, ils étaient 3 salariés. Aujourd’hui, ils sont 450. “La première fois que je me suis rendu compte que je ne connaissais plus tous les prénoms des gens. C’est un petit choc, mais ça fait bien longtemps qu’on a passé ce stade”, rapporte la co-fondatrice de Frichti.
Sa société livre des plats faits maisons à prix accessibles. 15 000 repas cuisinés par jour, 450 000 clients et des dégustations régulières de nouveaux produits. Elle rit souvent aux éclats. La jeune femme de 33 ans est épanouie. Son succès est fulgurant. Comme aux échecs, il faut toujours penser au coup d’après, sans jamais savoir comment l’avenir sera fait.
Un parcours exceptionnel pour Elena Poincet. Ancien agent des services secrets français, elle a créé son entreprise après avoir passé des années dans l’armée. Pour la cofondatrice de Tehtris, “l’expérience d’une vie aide à anticiper, à rester plus calme, à prendre de la hauteur sur les choses”. Son entreprise édite des logiciels de cybersécurité. 300 000 attaques sont perpétrées chaque jour sur Internet. Protéger la mission d’une vie réalisée pas à pas.
Leur credo c’est d’innover sans se jeter dans le vide , c’est aussi le crédo d’Aude Nyadanu. Elle est à la tête d’une entreprise qui améliore le quotidien des soignants et des patients. Ce jour-là, une nouvelle application mobile est testée. Cette ingénieure a tout fait seule sans levée de fonds. “Contrairement à la vision qu’on peut avoir des start-up ou au bout de six mois, il lève un million et embauche cent personnes, moi, j’ai mis 4 ans à monter ma structure. Aujourd’hui, on est sept”, affirme la fondatrice et dirigeante de Lowpital. Et elle espère continuer à faire grandir son projet.
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