le professeur Arnaud Fontanet / Vincent Boisot/Riva press
Lors de son interview sur LCI, l’épidémiologiste et membre du conseil scientifique a jugé “plausible” une levée des restrictions “fin mars ou début avril”.
Il a toutefois estimé que sur le plan “sanitaire”, il est “prématuré” de rouvrir les discothèques, “lieux à haut risque de transmission”.
Il a déclaré “Actuellement, rouvrir les discothèques, c’est prématuré”. Invité de l’Interview politique ce vendredi sur LCI, le professeur Arnaud Fontanet a souligné son étonnement face à la levée de certaines mesures “qu’on pourrait voir arriver un peu plus vite que d’autres”, s’attardant sur l’exemple des discothèques dont la réouverture était annoncée pour le 16 février.
“Sanitairement et mon point de vue est purement sanitaire, cela fait partie des mesures qui auraient pu arriver plus tard”, a détaillé l’épidémiologiste et membre du conseil scientifique, rappelant que “ce sont des lieux à haut risque de transmission”.
Il reprend avec des mots plus apaisants pour le gouvernement “le gouvernement quand il prend sa décision, il a en tête que c’est un secteur économique qui a énormément souffert, il a en tête l’aspiration d’une population de gens beaucoup plus jeunes à se retrouver et à faire la fête, il faut prendre tout cela en compte.
Le professeur Arnaud Fontanet, malgré ses réserves concernant cette réouverture des discothèques jugées précoces, a soutenu qu'”il faut revenir à des mesures presque normales”, expliquant que “les mesures prises, c’était finalement pour protéger l’hôpital tant qu’on risquait de se retrouver dans une situation de saturation”.
Il reprend avec des mots plus apaisants pour le gouvernement “le gouvernement quand il prend sa décision, il a en tête que c’est un secteur économique qui a énormément souffert, il a en tête l’aspiration d’une population de gens beaucoup plus jeunes à se retrouver et à faire la fête, il faut prendre tout cela en compte.
Le professeur Arnaud Fontanet, malgré ses réserves concernant cette réouverture des discothèques jugées précoces, a soutenu qu'”il faut revenir à des mesures presque normales”, expliquant que “les mesures prises, c’était finalement pour protéger l’hôpital tant qu’on risquait de se retrouver dans une situation de saturation”.
Cependant, “maintenant que grâce à une diminution continue, nous pouvons anticiper une diminution des hospitalisations dans les prochaines semaines, nous pouvons commencer à baisser les mesures”, a-t-il poursuivi, insistant sur l’importance que “tout cela soit proportionné”.
Il est nécessaire de faire très attention à cet agenda , car en juin 2020 et 2021, la déception avait était très forte et les variantes avaient brisé cette belle volonté de ” retour à la vie normale”.
Il est nécessaire de faire très attention à cet agenda , car en juin 2020 et 2021, la déception avait était très forte et les variantes avaient brisé cette belle volonté de ” retour à la vie normale”.
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