(Pascal Guyot/AFP)
Le variant OMICRON – Selon Santé publique France, 303 669 cas ont été signalés en 24 heures, soit une augmentation de 38% par rapport à samedi dernier. Par ailleurs, 21 721 personnes sont hospitalisées, dont 3821 en soins intensifs.
Seulement pour ce samedi 21 721 personnes hospitalisées (+116) dont 3821 en soins intensifs (+6), selon les derniers chiffres des autorités. Concrètement, la France repasse ce samedi au-dessus des 2.000 nouvelles hospitalisations quotidiennes en moyenne (2.053). Un niveau jamais atteint depuis la fin de la 3e vague, en avril dernier.
On dénombre également 143 décès en 24 heures.
En termes de contaminations, on compte 303.669 cas en 24 heures (+38% par rapport à samedi dernier).
Seulement pour ce samedi 21 721 personnes hospitalisées (+116) dont 3821 en soins intensifs (+6), selon les derniers chiffres des autorités. Concrètement, la France repasse ce samedi au-dessus des 2.000 nouvelles hospitalisations quotidiennes en moyenne (2.053). Un niveau jamais atteint depuis la fin de la 3e vague, en avril dernier.
On dénombre également 143 décès en 24 heures.
En termes de contaminations, on compte 303.669 cas en 24 heures (+38% par rapport à samedi dernier).
A Paris, la propagation de l’épidémie de coronavirus bat des records. Alors que le taux d’incidence explose, notamment chez les jeunes de 20 à 29 ans, la situation dans la capitale est préoccupante. Cette explosion de nouvelles contaminations serait-elle due à la propagation du variant Omicron en région parisienne ?
La région parisienne est particulièrement touchée par ce variant qui est encore plus contagieux que Delta. Omicron est déjà majoritaire à Paris. Le 2 janvier 2022, il a été estimé que 82,35% des cas parisiens de coronavirus présentaient une absence de la mutation L452R qui caractérise le variant Omicron.
La région parisienne est particulièrement touchée par ce variant qui est encore plus contagieux que Delta. Omicron est déjà majoritaire à Paris. Le 2 janvier 2022, il a été estimé que 82,35% des cas parisiens de coronavirus présentaient une absence de la mutation L452R qui caractérise le variant Omicron.
Cette estimation a été réalisée à partir des données de Santé Publique France sur la proportion de variants dans les tests positifs dépistés ainsi que sur le nombre total de tests positifs. Cette augmentation est corrélée à l’évolution du taux d’incidence dans la capitale.
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